Tout d'abord de part mon travail j'ai eu la chance et le plaisir de faire la connaissance de M.Sahnoune ( j'étais chauffeur des fréres Acariés ) .
Medhi est un grand Monsieur, j'ai juste une anecdote sur lui .
IL sort de l'hotel ou il loge sur Paris, une dame agé à eu le malheur de ce faire volé une bague de valeur par une personne qui "voit" dans les lignes de la main . Et cela n'à pas échappé au regard de Medhi qui cours voir cette dame agé et lui demande " la personne ne vous à rien volé ?" et la dame agé lui répond " si ma bague de valeur"...
Medhi porte d'Orléans cours vers cette fameuse voleuse alors qu'il doit partir pour son entrainement.
Rattrape la bague et la rends à la mamy toutes heureuse et devant plusieurs personnes dont aucune n'à pourtant aidé cette mamy .
Alors de grace pas d'attaque sur Medhi c'est un grand Monsieur et courageux !
Voici juste un article sur cette affaire :
Un jeune homme passé à tabac en 2002 sur un parking de Cabriès
Bien sûr que non, je n'ai pas fait ça. Je suis un boxeur, c'est mon métier. Frapper un homme sur un parking à plusieurs, ce n'est pas ma mentalité." Longuement, Mehdi Sahnoune, l'ancien champion du monde des mi-lourds et ancien champion de France de boxe, s'est défendu devant le tribunal correctionnel d'Aix. Poursuivi pour violences, comme Bruno Bertagna qui n'était pas présent à l'audience, Mehdi Sahnoune a répété qu'il n'avait rien à voir avec le lynchage d'un jeune homme sur un parking.
Les faits remontent à mars 2002 : Abdelaziz était sorti avec un groupe d'amis dans un club de Cabriès, où il était adhérent. Selon quelques témoins, il aurait dansé de manière "expressive avec plusieurs jeunes femmes". La victime, interrogée par le président Baudouin, s'est souvenu avoir "un peu bu". "Puis on m'a tiré par les cheveux, on m'a sorti sur le parking, on m'a jeté au sol et là les coups ont commencé", a-t-il raconté.
Pendant de longues minutes, il est passé à tabac. Coups sur le visage, les jambes, les bras… "Je ne me souviens pas de tout, je me suis évanoui et après…" Après, ce sont 17 jours d'hôpital et des blessures pas encore cicatrisées cinq ans après les faits. "Je suis marin-pêcheur, mon métier c'est ma vie. Aujourd'hui, je travaille quelques jours par semaine."
Le tribunal a tenté de retracer les faits pour déterminer les responsabilités de chacun. Pourquoi s'était-on acharné sur Abdelaziz ? Sont-ce les videurs qui l'ont frappé ? Des clients ? Le seul prévenu présent à l'audience a nié toute implication. "Jamais je n'aurais fait ça", a insisté Mehdi Sahnoune. Me Vidal-Naquet, pour la partie civile, a mis en exergue le traumatisme encore lourd pour la victime, battue en pleine nuit par six à dix personnes.
"Parmi elles, un témoin a parlé de Sahnoune, a précisé l'avocat. Peu importe que mon client ait dansé de manière exubérante avec qui que ce soit. Cela n'explique pas un tel lynchage." Même analyse pour le procureur Vanbremeersche : "En boîte, il y a des gens qui boivent trop, des gens pénibles. Mais il faut savoir les gérer". Le magistrat a pris soin de s'excuser auprès de la victime des lenteurs de la justice : trois ans d'instruction et deux années pour que l'affaire vienne devant le tribunal, après plusieurs renvois dus à l'absence de Bertagna.
Pour le parquet, "il est établi que Sahnoune est l'auteur principal des faits". Le ministère public a requis contre Bertagna deux ans de prison assortis ou non du sursis. Et deux ans dont 1 8mois avec sursis à l'encontre de Sahnoune. Me Reviron, l'avocat de Bertagna, a souligné les contradictions de la victime : "Les choses ne sont pas si évidentes, aucun élément ne permet de l'incriminer". Il a plaidé la relaxe.
Même certitude pour Me Rebuffat, le conseil du boxeur : "Depuis le début du dossier, tout ce qu'on reproche à M. Sahnoune, c'est d'être boxeur, comme si c'était une circonstance aggravante". Le jugement a été mis en délibéré au 8 janvier.
Source :
http://www.laprovence.com